-...................................- Projet Constituant des Citoyens français -
L'Avenir des Institutions nous appartient

Coopératives de Citoyens Libres

 

Page à construire par chacun :  vos propositions de modifications sur la page CONTACT ou sur le Groupe Projet Constituant


 

 
 

Créeons des groupes coopératifs sur tout le territoire pour retrouver notre souveraineté

- Les groupes
- L'urgence
- L'action constitutionnelle

Les groupes

Les groupes de citoyens libres qui existent (avec d'autres à découvrir) sont sur la page :

http://collectifconstituant.fr.gd/R-e2-volution-et-Partis-2-.-0--f-.htm

et un modèle de charte que chaque groupe pourra adapter est sur :

http://collectifconstituant.fr.gd/Citoyens-libres.htm

 

Aux citoyens de s'engager maintenant, pour que les partis sous leur forme actuelle disparaissent pour devenir des « partis 2.0 », dont les droits seront strictement alignés sur ceux de toute autre association, sans aucun privilège.


Créons des groupes reliés entre eux pour étudier ce que nous voulons que nos institutions deviennent. Nous pouvons écrire un projet commun de Constitution.


Veillons dans ces travaux constitutionnels à ce
que les partis n'interviennent pas, et par la suite que les candidats aux mandats publics ne puissent l'être qu'à titre personnel.
Exigeons que tout candidat le soit sur des engagements clairs et responsables, sans aucune référence à un quelconque parti ou à aucune autre organisation, avec des moyens financiers et de communication
limités identiques pour tous.

 

Nous pouvons engager une révolution constitutionnelle en usant des moyens modernes d'échanges et de collaboration, avec des groupes locaux de petite taille coopérant ente eux, composés par exemple de 40 à 60 personnes "actives"
D'autres contributeurs occasionnels pourront y contribuer en nombre (chaque groupe fixera sa limite). 
Ces groupes locaux
répartis sur l'ensemble du territoire national produiront des propositions d'organisation des pouvoirs publics et des exigences constitutionnelles.
Ces "coopératives politiques" auront une assise locale et éventuellement thématique, et non plus une base "idéologique" ; ils coopèreront ensuite au niveau territorial
qu'ils se choisiront.

Nous pouvons commencer en créant par exemple des groupes locaux au niveau des communes, des communautés de communes ou des aglomérations. Un groupe peut se constituer sur un résau social pour échanger les propositions en cours d'élaboration.

40 à 60 groupes par exemple pourront former un groupe "territorial", dont les limites peuvent aller d'une partie d'un département à une région.
Ce sont les "actifs" des groupes locaux qui désigneront selon les modalités de leur choix un  représentant coopératif
(ou deux si le groupe local dépasse 80 personnes actives) auprès du groupe territorial qu'ils constituent.
Ces représentants désignés ne devront être titulaires d'aucun mandat public électif.



Les groupes territoriaux, composés à leur tour de 40 à 60 personnes "actives" (ce sont les représentants des groupes locaux) pourront également accueillir chacun des contributeurs occasionnels. Cinquante à cent groupes territoriaux pourraient être ainsi créés. Ils rassembleront et synthétiseront les travaux de leurs groupes locaux.

Chaque groupe territorial devra disposer d'un site d'échange de documents ou de message afin de recevoir les propositions des groupes locaux qui le constitue.

Ces groupes territoriaux seront chargés d'établir la synthèse des propositions des groupes locaux, mais toute nouvelle proposition de leur part devra
être approuvée par un au moins un de leurs groupes locaux. Ils constitueront en quelque sorte l'ossature des "partis 2.0", et leurs territoires géographiques pourront se chevaucher.

Les échanges et coopérations entre les groupes et les membres restent ouverts et ceci n’exclura pas, bien au contraire l'expression libre des opinions dans le respect mutuel, libérées des dogmatismes imposés par les partis fonctionnant sur les vieux principes centralisateurs.


Les groupes territoriaux désigneront chacun 4 représentants (à ajuster au besoin selon la populations représentée) qui formeront le groupe national, en charge du recueil et de la synthèse des travaux territoriaux.
Ces travaux, représentatifs des exigences des citoyens, seront soumis aux parlementaires et aux membres du gouvernement, qui ne pourront pas les ignorer.
Deux années doivent être nécessaires pour aboutir à ce nouveau "cahier de doléances".

Un référendum devra alors être préparé et présenté aux votes par les représentants publics au pouvoir, faute de quoi il sera possible pour les citoyens de faire valoir leur droit de résistance à l'oppression pour ne pas avoir été entendus. Manifestations de masse et actes de désobéissance civile seraient alors légitimes.
Nos élus et le gouvernement prendront leurs responsabilités, n'en doutons pas, pour éviter cette issue.

Les groupes coopératifs, locaux, territoriaux et le groupe national seront les structures privilégiées qui veilleront à la création  des assemblées constituantes de citoyens conformément au projet référendaire,  en charge d'élaborer les nouveaux articles d'une Constitution refondée par et pour les citoyens.

Une révolution 2.0 portée par des "partis 2.0".

Toute nouvelle Constitution devra exiger ce principe absolu d'égalité et prévoir le strict contrôle de son application, grâce à une participation effective, collaborative, des citoyens aux lois organisant les pouvoirs publics, à un pouvoir constitutionnel citoyen permanent et à un véritable pouvoir judiciaire unique et indépendant des autres pouvoirs. Une révolution pacifique, démocratique, mais déterminée, adulte, libérée de la tutelle asservissante des partis politiques sous leur forme actuelle.

 

Il y a urgence

Mille questions dites « urgentes » sont souvent légitimes, elles sont quotidiennement évoquées par les « responsables » politiques et leurs partis et elles ont pour effet de fragmenter les pensées et les volontés, de faire diversion et d'étouffer l'expression libre de la volonté et de l'action du peuple. C'est plutôt l'origine de ces urgences et de ces problèmes endémiques qu'il faut rechercher pour pouvoir les traiter utilement.
L'essentiel de la question posée est donc de savoir qui en est la cause et qui aura le pouvoir et l'exercera pour parvenir à les résoudre : le peuple organisé ou l'oligarchie ?

C'est une évidence qui nous aveugle tellement que nous ne la voyons plus et la guerre est à nos portes, elle nous submerge : qui en est la cause, si ce n'est ceux qui ont eu et qui ont encore le pouvoir. Ils avaient le devoir de protéger les peuples de ses ravages, de les protéger des dictatures, d'assurer les transitions démocratiques, de juger et de punir les maffieux de toute sorte qui étranglent leurs peuples plutôt que de commercer cupidement avec eux ? Qui est la cause, sinon les oligarques que les partis politiques, eux seuls, ont mis en place en nous manipulant.

Le combat pour la démocratie, pour la sortie des crises qui n'en finissent jamais en raison de l’impéritie des gouvernants imposés aux suffrages des citoyens par les partis à leur unique profit, voilà bien la question première. Le reste n'est que la conséquence de cette dérive de la démocratie : le pouvoir constituant a été dérobé au peuple. C'est bien aux citoyens de le reconquérir, en commençant par démontrer notre ferme volonté d'y parvenir.
Le premier courage sera donc de comprendre que les partis, tous les partis, sont une nuisance ; difficile lorsque l'on a parfois cru toute une vie à leur sincérité (ou plutôt à la sincérité d'un seul camp!), à l'impossibilité qu'ils affirmaient de tout autre choix que la voie dite faussement "représentative", issue des seuls partis politiques. Mensonges. Mensonges relayés complaisamment par les médias et quelques "penseurs" capturés par les partis.
Les pères de la Révolution n'ont jamais voulu les partis politiques, ils se sont imposés dans le vide laissé par les anciens oligarques, trompant les peuples.
Qui a jamais vraiment "choisi" un "représentant" par son vote ? Jamais un citoyen libre de leurs griffes, agissant de sa propre volonté, n'a été élu sans l'appareil d'un parti. Ce sont eux qui font les choix !
Sortons de ce cercle vicieux, imposons nous à toute occasion. Le chemin sera long, à moins d'une catastrophe dont nous ne sortirons pas indemnes, peut-être imminente. C'est une raison de plus pour agir, maintenant.
Nous savons ce que nous voulons, une nouvelle Constitution écrite par le peuple, pour le peuple, grâce à une assemblée constituante composée de citoyens libres. Le reste suivra, débarrassés que nous serons
des turpitudes politiciennes, et nous y veilleront sans relâche grâce à des institutions dignes du XXIe siècle dont nous serons les auteurs . Cependant nos seuls débats ne suffiront pas pour convaincre les gens de pouvoir inféodés aux partis, ils les détourneront. Il nous faut donc agir sans délai.

Première preuve et première action :
Bientôt, en octobre, un rapport
issu des savantes élucubrations de quelques "représentants" auto-proclamés, formant un groupe conduit par le président de l'assemblée nationale, va être publié. Il s'agit ni plus ni moins de présenter ce que serait "l'avenir de nos institutions"! Qui d'autre, pourtant, que le peuple dans son ensemble est concerné ? Nul citoyen libre n'a pourtant été consulté, or nous aurions du l'être tous, et c'est même nous qui aurions du participer à sa rédaction.
Sommes-nous des moutons, des serfs bon à être dirigés et à payer, sans avoir à nous exprimer sur nos droits et sur nos libertés, sur nos devoirs de fraternité ; nos dirigeants pensent-ils que nous en sommes incapables, que nous sommes leurs esclaves serviles alors que nous les payons ? Jamais quiconque n'accepterait d'être ainsi traité dans aucune organisation, la révolte serait immédiate. Alors qu'attendons nous, serions nous à ce point aveuglés par les discours martiaux des partis dans leurs "universités", par leurs éternels boniments qui n'ont qu'un but : nous diviser pour régner ? La lecture des comptes-rendus successifs, alambiqués mais sournois, de ce groupe d'oligarques et affiliés, mimant une représentation de "l’échiquier politique" est édifiante : nous sommes les poires des partis politiques !

Nous devons refuser d'accepter ce rapport, nous devons exiger qu'il soit communiqué à tous et présenté à la critique des citoyens qui pourront s'exprimer librement sur son contenu
. Nous devons exiger que cette expression des citoyens soit intégrée au rapport avec la plus grande fidélité, puis que le rapport ainsi réécrit soit soumis à référendum, comme base de travail pour une assemblée constituante que ce référendum proposera de mettre en place hors de toute tutelle des partis. C'est parfaitement possible, des lois ont déjà été présentées aux commentaires des citoyens, alors pourquoi ce texte qui nous concerne tous au premier chef et durablement ne le serait-il pas? Nous pouvons le deviner : la garde des clés du pouvoir et des privilèges qui ont été introduits par les lois et les évolutions institutionnelles est en jeu.
Les partis, sentant le vent tourner, ont tenté avec ce rapport de "nous doubler". Ils ne doivent pas y parvenir, ce serait une fois de trop. Si un parti ou l'un des ses oligarques lance des cris scandalisés pour faire mine de nous soutenir, ne nous y laissons pas prendre, il est tout aussi affamé de pouvoir que tous les autres, ses cris ne seraient que des simagrées récupératrices ! Les discours, nous n'en voulons plus. Les actes, nous les attendons toujours : le monde qu'ils se construisent ne nous convient pas.

L'action constitutionnelle


Agissons maintenant, rassemblons-nous, citoyens libres, autour de cette exigence : nous réclamons la présentation à nos critiques de ce rapport dit « sur l'avenir des institutions », puis à notre accord une fois modifié pour qu'il soit le point de départ des travaux d'une constituante citoyenne libre. Notre devoir est d'alerter le peuple par tous les moyens, par voie de presse et sur tous les médias possibles, sur les réseaux sociaux, et pourquoi pas en attaquant ce rapport comme inconstitutionnel tant que le peuple ne l'aura pas repris puis validé. Une question prioritaire de constitutionnalité doit être préparée dès à présent.
La souveraineté constitutionnelle n'appartient qu'au peuple, elle est inaliénable. Ce ne sont pas aux gens de pouvoir d'écrire les règles du pouvoir, c'est à nous, à nous seulement, les citoyens libres. Agissons.
Tous les appels en ce sens doivent être placés et relayés dès à présent sur les réseaux sociaux citoyens. Le temps nous est compté.

Pour nous organiser, commençons à présenter des citoyens libres, sans aucune tutelle de parti, aux élections à venir. Nous devons utiliser toutes les tribunes pour imposer notre volonté à une oligarchie qui nous méprise.

"Qu'est-ce que la vraie démocratie ?" est une sélection des meilleurs passages évoquant la démocratie athénienne, issus de « Sommes-nous en démocratie ? » outil d'éducation populaire de et avec Sylvain Rochex et Gérard Volat.



 
En construisant une première synthése des travaux déjà produits par de multiples goupes de citoyens, il est possible de présenter le cadre institutionnel suivant que le peuple réclame et qu'il précisera selon sa volonté. Pour y parvenir, coopérons :

 

Des projets de textes de travail détaillés sur les futures institutions, issus des groupe,s sont sur les pages :

http://collectifconstituant.fr.gd/Texte-du-projet-_-Version-encours.htm

et

http://collectifconstituant.fr.gd/Projet-de-Constitution-modifi-e2-e.htm



Continuons à y travailler et publions nos travaux en "phase 0" dès la fin de ce mois !

 
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